Anciens combattants

La maison des anciens combattants de la ville de Bègles est située à la Maison des associations. Les associations (UFAC, FNDIRP, A.N.A.C.R., A.C.P.G. & C.A.T.M. et FNACA) promeut le souvenir des sacrifices consentis par les Français et leurs alliés au cours de différents conflits pour le maintien de la liberté. Ils sont garants du maintien de l'esprit de civisme, notamment auprès des jeunes.

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Une famille déjà en France peut-elle bénéficier d’un regroupement familial ?

La situation diffère selon que le demandeur est originaire du Maghreb (Algérie, Maroc, Tunisie), d’Afrique subsaharienne (Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Centrafrique, Congo Brazzaville, Côte-d’Ivoire, Gabon, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal, Togo) ou d’un autre pays.

Oui, l’époux(se) et les enfants de moins de 18 ans de l’étranger, déjà en France, peuvent bénéficier d’un regroupement familial sur place.

L’époux(se) doit habiter en France en situation régulière, avec une carte de séjour d‘1 an minimum ou une carte de séjour pluriannuelle.

L’étranger demandeur doit vivre en France, en situation régulière, depuis 18 mois au moins (12 mois pour les Algériens). L’étranger demandeur doit avoir une carte de séjour d’1 an minimum (ou le récépissé de la demande de renouvellement de son titre de séjour). C’est notamment le cas lorsque l’étranger séjourne en France sous le statut de salarié, travailleur temporaire, d’étudiant ou de visiteur.

Les autres conditions à remplir par le demandeur et les bénéficiaires du regroupement sont les mêmes que pour la procédure normale.

En revanche, le bénéfice du droit au regroupement familial étant accordé sans le recours à la procédure d’introduction, l’époux(se) et les enfants n’ont pas à justifier d’un visa de long séjour valant titre de séjour (VLS/TS) obtenu auprès du consulat de France à l’étranger.

Dans le cas où le regroupement familial est accordé, l’époux et les enfants majeurs originaires du Maghreb ou d’Afrique subsaharienne reçoivent une carte de résident valable 10 ans si l’étranger à l’origine du regroupement a un tel titre. Sinon, ils reçoivent une carte de séjour d’1 an.

Les enfants mineurs reçoivent quant à eux un document de circulation pour étranger mineur (DCEM).

    Oui, l’époux(se) et les enfants de moins de 18 ans de l’étranger, déjà en France, peuvent bénéficier d’un regroupement familial sur place.

    L’époux(se) doit habiter en France en situation régulière, avec une carte de séjour d’1 an minimum ou une carte de séjour pluriannuelle.

    L’étranger demandeur doit vivre en France en situation régulière depuis 18 mois au moins. L’étranger demandeur doit avoir une carte de séjour d’1 an minimum (ou le récépissé de la demande de renouvellement de son titre de séjour). C’est notamment le cas lorsque l’époux(se) bénéficiaire séjourne en France sous le statut de salarié, travailleur temporaire, d’étudiant ou de visiteur.

    Les autres conditions à remplir par le demandeur et les bénéficiaires du regroupement sont les mêmes que pour la procédure normale.

    En revanche, le bénéfice du droit au regroupement familial étant accordé sans le recours à la procédure d’introduction, l’époux(se) et les enfants n’ont pas à justifier d’un visa de long séjour valant titre de séjour (VLS/TS) obtenu auprès du consulat de France à l’étranger.

    Si le regroupement familial est accordé, l’époux bénéficiaire et les enfants majeurs reçoivent une carte de séjour temporaire vie privée et familiale valable 1 an.

    Les enfants mineurs reçoivent quant à eux un document de circulation pour étranger mineur.

      Installation en France d’une famille étrangère